Droits humains et dignité de la femme autochtone
Faible autonomisation des femmes autochtones dans la province du Sud-Kivu est caractérisée par l’absence des femmes autochtones dans la gestion de la chose publique, la marginalisation par les membres des autres groupes ethniques, leur faible pouvoir d’achat et leur faible estime de soi.
Ces situations sont causées par la faible promotion des droits des peuples autochtone, l’insuffisance des défenseurs des droits des peuples autochtones outilles et engages, la faible valorisation de la culture des peuples autochtones, les approches et interventions dégradante vis-à-vis de la culture des peuples autochtones, les stéréotypes sur le mode de vie des peuples autochtones, une faible accessibilité à l’enseignement de base, les Mariage précoce, le poids de la culture, l’ignorances de
l’existence des opportunités et instruments de protection des droits des peuples autochtones le pillages des biens des peuples autochtones dû à la convoitises des milieux naturels des peuples autochtones par les grandes entreprises à cause des ressources.
L’absence continue des interventions cordonnées et novateurs engendre une accentuation de la discrimination et des frein pour la promotion des femmes autochtones, étouffement ainsi des ambitions des jeunes filles autochtones, et par riccocher les ambitions politiques des femmes autochtones. Tout ceci est de nature à accentuer une image dégradée d’un peuple arriéré « sous-homme » et donc l’autoflagellation.
Notre demarche
La mise en place dans les communautés des mécanismes communautaires de protection des femmes et filles autochtones dirigés par 50% des autres groupes ethniques et 50% des peuples autochtones, composé des autorités locales, des hommes et des femmes et les jeunes à 50%.
Ce mécanisme est constitué par le comité de protection, du forum des femmes dans les communautés couvertes par les activités du projet et des agents de changement venant des communautés non couvertes par nos interventions pour assurer la duplication du modèle dans leurs communautés respectives.
Par système de protection IWHE-ONG entend l’organisation du travail des structures communautaires de protection (Analyse de contexte, sa mise à jour, élaboration du plan de protection et de contingence, réalisation des plaidoyers, sensibilisation des membres de la communauté).
Pour chaque communauté sélectionné pour travailler avec IWHE-ONG, sept (7) assemblées générales sont réalisées au cours de la phase d’accompagnement. Pendant la première assemblée générale au sein de la communauté, IWHE-ONG explique en quoi consiste la démarche, ses objectifs, les résultats attendus, les activités à réaliser. C’est une étape primordiale de la compréhension et contribue à la réussite de la suite des activités. Pendant cette séance les membres de la communauté sont invités à participer par couche de la population (les jeunes, les femmes, les autorités politico-administratives, les leaders d’opinion…).
Pendant les assemblées générales intermédiaires, et finales, les membres de la communauté examinent la performance des structures mise en place dans la communauté.
Une autre particularité de cette activité, c’est l’élection des agents de changement (qui sont constitués par les membres des communautés voisines de la communauté noyau des interventions : leur nombre est reparties selon les localités au tour du noyau ; leur travail consiste à jouer le même travail que mécanisme de protection communautaire dans les localités voisines non couvert par le projet).
Les membres des structures du mécanisme de protection communautaire sont formés sur l’approche de protection d’IHWE-ONG et sur la gestion des ressources financières, ensuite accompagnés par l’équipe d’indigenous women for health and equitity pour mettre en œuvre les activités identifiées localement et la mobilisation ressources locale. Les membres des structures du mécanismes travail en qualité des bénévoles. Indigenous women for health and equitity apporte l’appui technique dans la coordination des actions, la gestion financière, le rapportage et la mobilisation ressources externes et locales pour permettre aux mécanismes de fonctionner correctement.