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Santé

La province du Sud-Kivu en République Démocratique du Congo est un territoire meurtri par les deux guerres dites de libération où l’on retrouve jusqu’à ce jour des groupes armés semant des troubles de tout genre : pillage, extorsion, vol, viol, violence sexuelle utilisée comme armes de guerres en général et plus spécifiquement les stéréotypes des membres d’autres communauté sur la normalité de viol des filles et femmes des peuples autochtones, comme remède au violeurs souffrant des mots des dos. 

Par conséquent, l’on voit apparaitre des naissances non désirées, des enfants sans pères, des enfants abandonnés à eux-mêmes, ce qui crée un problème socio-économique d’encadrement des enfants. Nombreuses de filles craignent la stigmatisation faites par certains agents de santé dont les opérations d’avortement se font dans la clandestinité souvent avec des risques de mortalité maternelles et souvent sans matériels appropriés.

L’avortement clandestin vient de pratiques usuelles du milieu et expose les Femmes à la mortalité dont le nombre de cas sont accrus, ce qui prouve à suffisance qu’il est important de faire recours à l’avortement médicamenteux qui s’inscrit comme un droit humain inaliénable pour d’une part diminuer la morbidité de la Femme, et d’autre part répondre à la lutte contre les naissances non désirées.

Notre demarche

IWHE-ONG ainsi, procède à un travail de sensibilisation et contribue, à l’éducation sur la santé de reproduction à la base sur l’avortement médicamenteux soutenu par d’autres actions sur l’avortement entre autres : animation sensibilisation, accès des femmes aux soins de qualité, aux renforcement des capacités des prestataires locaux, à un plaidoyer contre la stigmatisation auprès des autorités locales.

IWHE-ONG, offre aussi des services de clinique mobile en faveur des femmes et filles défavorisé d’une manière générale et les femmes et filles autochtones en particuliers.